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Publié le 16 Mai 2017

A quelques pas du Jardin de la Reine, nous avons poursuivi notre flânerie dans le Jardin des Plantes de Montpellier, le plus ancien jardin botanique de France.

A l'écoute de notre guide, nous avons sillonné les allées en traversant différents paysages et aménagements paysagers, abritant plus de 2000 espèces végétales, comme l'arbre à messages, un filaire tout tordu et creusé, dans lequel les jeunes amoureux glissent des petits mots secrets, comme l'oranger des Osages dont les indiens utilisaient son bois pour la fabrication des arcs et sa sève pour les peintures du visage, comme le très imposant Gingko Biloba, considéré comme un arbre sacré, comme les feuilles d'Acanthes appelées "pattes d'ours" et dont le motif est repris sur les chapiteaux corinthiens, comme les lotus rapportés d'Egypte, abritant crapauds et tortues aquatique...

La visite s'est terminée devant l'imposante orangerie,datée de 1804, consacrée aux cactus d'Amérique du Nord d'une part et ceux d'Amérique du Sud d'autre part.

Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
Visite du jardin des plantes de Montpellier - samedi 13 mai
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Publié le 24 Avril 2017

De 1939 à 1944, à la maternité d’Elne, une jeune suisse, Elisabeth Eidenbenz, a combattu pour sauver 600 enfants d’une mort certaine.

Mais qui peut mieux relater cet épisode qu’Elisabeth elle-même…lors d’un témoignage en 2007.

« La période passée à la maternité d’Elne est la plus importante et la plus riche de ma vie, beaucoup plus que ce que j’ai fait avant et après, et j’en suis très reconnaissante Le Secours suisse nous a donné la possibilité d’aider les réfugiés nécessiteux et nous avons mené cette tâche à bien. J’étais très jeune et je n’avais aucune expérience mais j’étais pleine de bonne volonté et toujours prête à aider. Je voulais mettre toutes mes forces à la disposition d’autrui et me donner au maximum. C’était un travail qui exigeait beaucoup de cœur et ce fut aussi une grande satisfaction pour moi.

Les femmes venaient de toute l’Europe et étaient internées dans les camps, certaines avaient trouvé un logis chez des particuliers, mais toutes étaient déracinées, sans patrie, avec un futur incertain. Elles étaient au plus bas physiquement et moralement. Il fallait les encourager, leur donner un peu de force morale pour affronter la vie. Nous avons essayé de les distraire pour qu’elles aient également de la joie, à côté de leurs soucis. Le soir, nous chantions, nous organisions des fêtes, nous dansions, je leur lisais des contes de Noël traduits du bernois.

Il n’était pas facile de vivre ensemble en harmonie avec toutes ces femmes différentes. Mais elles connaissaient toutes le même sort, elles avaient perdu leur patrie, elles avaient été expulsées et elles attendaient un enfant.

Nous avons vécu une époque dure et difficile, au cours de laquelle les femmes juives avaient peur pour elles-mêmes et surtout pour leurs enfants. Pendant quelques semaines, elles ont pu se reposer dans une atmosphère familiale et amicale.

Chaque naissance procurait une grande joie et était une source d’émotion. Nous nous sommes aussi occupées d’enfants souffrant de maladies liées aux conditions de vie dans les camps. Les mères étaient généreuses et beaucoup de bébés ont pu être sauver grâce au lait qu’elles leur ont donné.Je ne faisais que mon devoir. C’était normal, indispensable, d’aider les opprimés, les gens poursuivis. Je suis persuadée que, dans les périodes sombres où règnent violence et haine, humanité et tolérance sont nécessaires et possibles. Bien que plus de soixante ans se soient écoulés, tous ces souvenirs, ces évènements, restent vivants. C’étaient une période extraordinaire que je n’oublierai jamais. Ce que nous avons vécu est marqué dans ma mémoire et y restera pour toujours.

En 1991, j’ai reçu un coup de téléphone d’un homme qui me disait être né à la maternité suisse; il voulait me connaître. Quelques jours plus tard, Guy Eckstein est venu me voir à Rekawinkel. Depuis lors, Guy m’a permis de reprendre contact avec beaucoup de « mes » enfants de la maternité et de les revoir, ce qui me rend très heureuse. C’est la richesse de mes vieux jours…»

Préface d’Elisabeth Eidenbenz dans le livre « Les enfants d’Elisabeth » d’Hélène Legrais.

Elisabeth Eidenbenz a reçu en 2002 la médaille des « Justes parmi les nations » et est décédée en 2011.

Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne
Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne

Photos d'archive, exposition permanente de la maternité suisse d’Elne

En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
En terres catalanes, visite de la Maternité Suisse d'Elne
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Publié le 23 Avril 2017

Samedi 22 avril, l’association du Devois remonte le cours de l’Histoire en Terres Catalanes : visite émouvante du Mémorial du Camp de Rivesaltes
 
« Il n’y a pas un camp de Rivesaltes, mais des camps de Rivesaltes. Le camp, d’abord militaire, devient un camp de réfugiés de la guerre d’Espagne, un camp d’internement conçu pour enfermer les Indésirables de Vichy durant la Seconde Guerre Mondiale pour la seule raison qu’ils représentent un danger potentiel pour l’Etat, hors de tout crime et délit, un camp de regroupement des Juifs déportés dans le cadre du génocide, puis un camp de transit des harkis contraints de quitter l’Algérie.
L’histoire du camp est celle des deux grands traumatismes du XXème siècle en France. »
 
Le 12 novembre 1938, la loi sur l’internement administratif des indésirables étrangers est votée par le gouvernement Daladier. Le camp de Rivesaltes a ouvert en 1940 sur un vaste espace de 600 h de terres incultes où les conditions d’internement étaient abominables : la tramontane quasi permanente et violente, les températures extrêmes en été comme en hiver, les moustiques, le peu d’eau, des logements mal conçus, les privations … vont affaiblir rapidement la population.
 
Au printemps 1941, près de 9 sur 10 des détenus étaient des étrangers dont 55% d’Espagnols, 15% d’Allemands, 10% de Polonais dont près de 40% étaient des Juifs : 16 nationalités étaient représentées, 40 interprètes ont été engagés. Près de 11000 détenus étaient enregistrés dans le camp qui devint la 2nde ville du département en moins d’un mois. 2289 juifs ont été déportés à Drancy et Auschwitz-Birkenau, seuls 80 en sont revenus.
 
L’histoire du camp de Rivesaltes est aussi liée à celle de la guerre d’Algérie. Le camp a servi de centre de formation militaire, puis de centre pénitentiaire pour les nationalistes algériens et enfin de transit pour les harkis et leurs familles que le gouvernement français ne voulait pas recevoir.
Rivesaltes Hier
Rivesaltes Hier
Rivesaltes Hier
Rivesaltes Hier
Rivesaltes Hier

Rivesaltes Hier

Rivesaltes Aujourd'hui
Rivesaltes Aujourd'hui
Rivesaltes Aujourd'hui
Rivesaltes Aujourd'hui
Rivesaltes Aujourd'hui
Rivesaltes Aujourd'hui
Rivesaltes Aujourd'hui
Rivesaltes Aujourd'hui

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Publié le 4 Avril 2017

Samedi 22 avril 2017, l’association du Devois vous propose de découvrir dans la région, deux sites qui témoignent d’une époque difficile et peu glorieuse pour la France : le Mémorial du camp de Rivesaltes et la Maternité Suisse d’Elne, en mémoire des « indésirables ».

Le camp de Rivesaltes représente un espace de référence de l'histoire de l'internement en France, où se sont succédés des réfugiés espagnols, des juifs, des tsiganes, des Harkis avec leur famille et autres ressortissants étrangers. Il est aujourd’hui un musée-mémorial pour sortir 75 ans d’internement des oubliettes de l’Histoire.

La maternité Suisse d’Elne a accueilli durant la période 1939-1944 des mamans sur le point d'accoucher internées dans les camps d'Argelès, de Rivesaltes, de Saint-Cyprien et de Gurs. Grâce au courage et à la volonté d'une jeune infirmière de la Croix Rouge Suisse, Élisabeth Eidenbenz, plus de 600 enfants y sont nés à l'écart des camps sordides, jusqu'à sa fermeture par les Allemands en 1944. Tous étaient des enfants de réfugiés espagnols, juifs ou tsiganes. Tombé en ruine pendant plus de 50 ans, le bâtiment a été petit à petit remis en état dès 1997 par son nouveau propriétaire, qui lui a redonné son lustre d'antan.

Sortie en bus. Pique-nique sorti du sac à midi.
RDV à 7h45 Mairie annexe, Avenue du Devois.

Adulte : Adhérent 10€ / non adhérent 15€. Enfant (<12 ans) : 5€

Contact/inscription : Jean-Louis au 04.67.40.05.41 avant le 15 avril 2017. Réservations limitées à 55 places.

Prochainement, visite du Mémorial du camp de Rivesaltes et de la Maternité Suisse d’ElneProchainement, visite du Mémorial du camp de Rivesaltes et de la Maternité Suisse d’Elne

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Publié le 16 Février 2015

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Publié le 9 Octobre 2013

Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Dimanche 6 octobre 2013 : Une virée en pédalo-rail à St Thibéry

C’était un moment d’évasion sur l'ancienne ligne de chemin de fer désaffectée reliant, dans le passé, Saint Thibéry à Pézenas et aujourd’hui convertit en parcours touristique. Le sifflet du « chef de gare » donne le top de départ, du Pont Romain au bord de l’Hérault, sur un parcours d’une dizaine de km aller/retour.

Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien  Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien  Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien

Le voyage est facile d’apparence mais nous avons quand même pédalé à la sueur de notre front car on s’aperçoit très vite que le parcours est sensiblement en côte à l’aller et les pédalo-rails sont des structures lourdes.

Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien

Mais, le voyage s’est fait en toute tranquillité et cœur de la nature silencieuse ce dimanche matin. Les 18 « voitures à pédales » sont bien arrivées à destination, les passagers un peu fourbus mais ravis de cette expérience ludique et conviviale.

Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien  Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien

Après l'effort du matin, tout le monde s'est retrouvé aux portes du jardin de St Adrien pour partager en toute convivialité l'apéritif offert par l'association. Pause pique-nique sorti du sac où deux invités inattendus ont bien apprécié nos petits restes.

Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien

Visite du "bijou du Languedoc", le jardin de St Adrien, élu jardin préféré de français 2013. Un pur moment de bonheur, une halte de fraicheur sous le signe de la magie et de la sérénité.

Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien  Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien

Depuis 1988, les anciennes carrières datant du Moyen Age se sont transformées peu à peu en un écrin de verdure, une oasis posée sur des roches volcaniques, grâce à l'ingéniosité et le courage de Daniel et Françoise Malgouyres. Faire revivre un tel endroit, abandonné et transformé en décharge, était un rêve fou, un rêve d'enfant. Pari gagné!

Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien  Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien  Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien  Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien
Balade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien

La fontaine de Philia "Déesse Grecque de l'amitié" représente une jeune fille endormie au bord de l'eau. Cette œuvre réalisée par Daniel apporte le côté doux et zen que l'on vient chercher dans un jardin.

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Publié le 17 Septembre 2013

Le programme de votre journée !

Bulletin d'inscription et tarifs en bas de l'article.

Dimanche 6 octobre 2013 : escapade en pédalorail et visite du jardin de St Adrien

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Publié le 10 Avril 2013

photo1

Dimanche 7 avril 2013, c’était une belle journée printanière pour participer à la promenade historique à travers le passé protestant de Montpellier. M. Valdo PELLEGRIN, enseignant retraité à l'école de chimie de Montpellier, nous a menés sur de nombreux lieux de mémoire.

Avec simplicité et beaucoup de passion,  il nous a guidés dans les vielles rues de Montpellier qu'il connaît si bien.

Devant des monuments, sur des places ou autres espaces reconstruits, nous étions tous très attentifs et concentrés, et collectivement captivés et fascinés par les récits et anecdotes de notre guide sur la riche histoire du protestantisme de Montpellier.


Quelques lieux qui gardent la mémoire de ce passé protestant :


P1010258 L'esplanade Charles de Gaulle :

Lieu d'exécution des pasteurs et prédicants protestants. L'échafaud y était dressé, le condamné était pendu ou roué vif. Entre 1690 et 1754, 35 pasteurs et prédicants protestants y seront exécutés.

Si des protestants étaient arrêtés, les femmes étaient envoyées en prison, particulièrement dans la tour de Constance, à Aigues Mortes, les hommes étaient transférés aux galères, à Marseille.


Le collège au musée Fabre  P1010259

Le collège des Jésuites devient en 1604 mi-parti: protestants et catholiques y enseignent une chaire de philosophie. Les catholiques ont la régence des classes de première, troisième et cinquième, et les protestants, celle des classes de deuxième, quatrième et sixième.


P1010266La porte centrale -porte d'Isly- de l'ancienne caserne des Minimes a été remontée place Notre-Dame. Cette caserne hébergeait un contingent de troupes en Languedoc, des troupes de passage et permettre ainsi de décharger les habitants de la ville qui hébergeaient les militaires chez eux. La porte Marengo a été placée dans le square derrière la gare St-Roch. La troisième porte de Lützen est à l'entrée de la maison pour tous Léo-Lagrange, à la Mosson.

 

P1010270Place Chabaneau : Le Grand Temple

Sur la place Chabaneau, où de nos jours se situe la partie ancienne de la préfecture, a été construit le Grand Temple de Montpellier, en 1583. Il sera démoli en 1682.

 

 

 

 

Valo Pellegrin Mtp la protestante

 

 

 

 

Continuez cette visite à travers le fabuleux récit "Montpellier la protestante", écrit et illustré par M. Valdo Pellegrin.

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Publié le 29 Octobre 2012

Nous sommes nombreux, installés depuis plusieurs années à Castelnau et qui, pour autant n'étaient pas encore partis à la découverte du centre historique de Montpellier. L'occasion a été saisie dimanche 21 octobre grâce à l'association du Devois! Dans la matinée, nous avons sillonné les rues anciennes, étroites et sinueuses pour découvrir en 2h les mille ans d'histoire de la cité.


Dans le dédale de ces ruelles médiévales, nous avons découvert des cours d'hôtels particuliers dévoilan2t un escalier monumental,hotel.jpg avons poussé la porte du Mikvé médiéval pour descendre les marches étroites menant au bain juif (incroyablement encore intact) pour ensuite gravir celles menant au sommet de l'arc de 3triomphe (monument érigé en 1691 par Augustin-Charles d'Aviler, architecte de la province du Languedoc) où la vue sur la ville est panoramique. Merci à nos guides qui nous ont permis de découvrir et visiter les belles curiosités de notre capitale régionale.

 

11 17 14         16 10 8     

 

L'après-midi, nous nous sommes immiscés dans l'intimité d'une grande fam1.Façade de l'Hotelille montpelliéraine. La visite de l'hôtel particulier Cabrières-Sabatie r d'Es peyra n, nous a permis de pénétrer dans une demeure historique, de découvrir les cadres  de vie des sociétés bourgeoises et aristocratiques des XVIIIe et XIXe siècles. Dans les décors fidèlement reconstitués de ses salons, cet hôtel particulier dévoile sa remarquable collection de mobiliers, ainsi qu'un fond exceptionnel de céramiques et de pièces d’orfèvrerie.

Construit en 1872 pour le comte Charles d'Espous de Paul, l'hôtel est légué à la ville de Montpellier en 1965 par sa petite fille Mme Cabrières d'Espeyran, nièce du cardinal Cabrières.

2.Vitrines Céramiques et Faïences

 

Au rez de chaussée sont exposés dans des vitrines, des céramiques, des vases de Sèvres et diverses pièces d'orfèvrerie.

 

 

 

 

Le 1er étage présente 3 pièces en enfilade : la salle à manger, le salon vert de réception suivi du salon rouge réservé à la famille, décorés de tapisserie d'Aubusson, des Gobelins, de meubles de style néorenaissance et Napoléon III...rien n'a changé!

3.Le salon Vert   5.Le salon Rouge

Le second étage était réservé aux domestiques. Aujourd'hui, il est remeublé d'objets et meubles provenant des appartements parisiens des familles Cabrières et Sabatier d'Espeyran.

6.2eme étage  8.2eme étage  4


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Publié le 28 Octobre 2012

 

Lac-du-Cres.jpgDimanche 30 Septembre,  une bande d’irréductibles «Coccinelles» s'est retrouvée pour une rando très conviviale jusqu’au lac du Crès. Comme les caprices de la météo ont été redoutables et imprévisibles ce week-end-là, de nombreuses animations ont été annulées dans l'agglo et beaucoup d'entre vous ont préféré rester enfermés chaudement et surtout au sec, chez eux. Ce qui se comprend ... car même entre nous, au sein de l'association, s'est engagée une joute d'arguments des plus convaincants au plus délirants pour arriver à maintenir ou fléchir cette balade au programme du jour. L'optimisme a eu son dernier mot et la balade a eu lieu en toute sérénité ... sous un ciel qui s'est éclairci comme par enchantement.

Par contre, le pique nique prévu photo1-copie-1initialement autour des barbecues aménagés au-dessus du Lac, a été annulé et simplement remplacé par une pause "thé"et "petits gateaux".

photo3La bonne humeur de rigueur au sein de l’Association du Devois a permis à tous de passer un moment agréable et d’échanger sur les prochaines manifestations prévues.

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